Éric Voegelin, compositeur breton, se rend en Biélorussie pour enregistrer sa dernière création musicale, un conte symphonique intitulé Le Petit Cheval bossu. Il trouve l'inspiration dans ce pays, difficile d'accès et souvent qualifié de dernière dictature d'Europe, mais aux richesses artistiques infinies. C'est là tout le paradoxe de la création. Au-delà des barrières linguistiques et culturelles, une œuvre naît.