Sotigui Kouyaté rend visite à l'exposition de son ami Alain Kirili à l'Orangerie des Tuileries. Des sculptures de Rodin en passant par les Nymphéas de Monet, Sotigui réagit au travail et aux propos de Kirili. Il inverse ainsi le regard généralement porté par les européens sur l'art africain et montre les ponts qu'il y a entre la pensée africaine et la pensée européenne.