L'écrivain Mathieu Riboulet enregistre chez lui une lecture d'extraits de son livre Le Regard de la source. S'y dessine le portrait d'une femme, ni amie intime, ni amante, mais assurément un peu de l'une, un peu de l'autre : Nina. Les images du passé surgissent : Moscou, il y a vingt ans, un monde perdu.