Au début des années quatre-vingt, Mathilde de Morny ne s’appelle pas encore Max. Jeune mariée, elle passe un week-end en Normandie, tandis que son mari l’accuse d’adultère saphique.
Un portrait fantasmé, kaléidoscopique et anachronique qui parie sur le rôle émancipateur de la fiction dans la construction des identités.