La chronique de quelques kurdes vivants à Paris.
Les temps ont changé, et, malgré le meurtre de trois militantes dévouées à leur peuple, les
communautés antagonistes se rapprochent.
Attanta djicjist Paris 2015.
Mais il est encore trop tôt, et inexorablement, la tragédie va l’emporter.
Immigration, déracinement, difficultés d'intégration, ce sont des mots que l'on entend de plus en plus fréquemment et qui relève selon les cas de réalités multiples. Dans ce film, à la frontière du
documentaire et de la fiction, à travers le portrait d'un intellectuel kurde, c'est d'abord la souffrance des hommes que j'ai voulu mettre en images.
Tout à la fois retour sur le passé, via les souvenirs de ses interlocuteurs, et interrogation sur l'avenir,
ce film apporte un éclairage sur la réalité d'un peuple opprimé, et se présente sous la forme d'un conte philosophique en images.