Dans l’immensité des choses, un orchestre monstrueux, une voix qui crie, et la terre qui se dresse encore, dans une vague immense. Voici ce qui nous reste du langage. Le cri dans ses écarts, ses bruissements et ses silences. Ce n’est plus à ce diable pétri d’argile que les trois hommes adressent leurs cris, mais à un diable blanc. Chacun de leurs gestes font retour dans l’Histoire.