C’est une histoire d’espace public où le réel s’immisce insidieusement dans le symbolique. On y croise des forcados, un taureau, une femme politique, une journaliste espagnole, des sbires froids du pouvoir, un cuisinier sri-lankais, un mendiant de petite taille. La fulgurance de la violence traverse les espaces et retourne naturellement à la poussière.