Cette autofiction raconte l’histoire de Melik. Pendant ses 40 jours de convalescence, dans le tourbillon d’un huis clos, il doit rester allongé sur le ventre, la tête penchée vers l’avant et les yeux fermés. Cette épreuve l’amène à reconsidérer son existence, sa vie et sa passion infinie pour le cinéma.