Marcel est un brave garçon, employé de la bijouterie Mercandieu. La fille du patron rêve d'en faire son fiancé mais Marcel tombe sous le charme de Loulou, une aguicheuse qu'accompagne le nonchalant Jo, délinquant à la petite semaine. Voilà que Tintin, l'homme de Loulou qui fait un séjour en prison, a besoin d'argent. Loulou ambitionne alors un « fric-frac » chez le bijoutier Mercandieu.
Synopsis
Regarder Fric-Frac en VOD
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Acteurs (20)
Production et distribution (3)
Productions déléguées :
Compagnie Commerciale Française Cinématographique (CCFC), Productions Maurice Lehmann
Distribution France :
Exportation / Vente internationale :
Diffusions TV : Cumulé
Diffusions TV : détail par pays
Propos
Point de vue
À revoir ce fleuron du cinéma français des années 30, on prend un plaisir indéfinissable. Car la qualité des dialogues et de l’interprétation, tout comme le sens du rythme, font de cette comédie légèrement satirique un vrai bonheur qui nous rappelle les classiques du tandem Marcel Carné-Jacques Prévert.
Tiré d’une pièce qui triompha trois ans plus tôt au Théâtre de la Michodière, Fric-Frac n’était pourtant pas parti sous les meilleurs auspices… En effet, Fernandel et Michel Simon, qui se donnaient ici la réplique pour la première fois, étaient à couteaux tirés et l’ambiance sur le tournage s’avéra délétère. Il fallut toute la bonne humeur d’Arletty pour jouer les arbitres et apaiser les conflits. Autant dire que les deux acteurs ne tournèrent plus jamais ensemble…
Par chance, l’atmosphère du film est à la bonne humeur et ne souffre pas de la mésentente entre les deux monstres sacrés. Sans doute parce que la magie du trio d’acteurs opère. Entre le verbe haut et la gouaille typiquement parisienne d’Arletty, la naïveté chevaleresque et la diction parfaite de Fernandel et la sympathique roublardise et le lyrisme inspiré de Michel Simon, le film offre à chaque acteur l’occasion de témoigner de son génie sans jamais surjouer, et surtout sans éclipser ses partenaires. Enchaînant les scènes d’une drôlerie parfois féroce, Fric-Frac joue formidablement sur le choc des cultures et des codes linguistiques. À cet égard, la première scène au bistrot où Arletty donne une leçon d’argot à Fernandel est tout bonnement savoureuse. Sans parler de la délicieuse balade à vélo qui se transforme rapidement en cours de séduction. En tous les cas, impossible de se demander ce que “s’emmouscailler” ou “jacter” veulent dire après avoir vu ou revu ce petit bijou !
Source : solaris-distribution.com