François Leclerc a été injustement accusé d'un double crime. Après avoir purgé sept ans de prison, il revient à Cournai, ville du nord où le drame s'est déroulé, décidé à se venger de ceux qui l'ont fait inculper. Rastignac local, François Leclerc, s'appuyant sur des magnats locaux et quelques femmes, avait jadis rapidement gravi ce qu'il est convenu d'appeler l'échelle sociale. Finalement, il était devenu co-propriétaire d'une boîte de nuit de luxe avec prostituée adaptées à la clientèle. Il y avait découvert un trafic de drogue qu'il entendait dénoncer. C'est à ce moment qu'il tomba dans le piège du double meurtre, de toute évidence tendu par les trafiquants. Il ne lui reste plus qu'à découvrir le chef et se venger. Ce qui sera chose faite avant le mot fin.
Synopsis
Regarder Le Corps de mon ennemi en VOD
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Acteurs (38)
Production et distribution (3)
Exportation / Vente internationale :
Diffusions TV : Cumulé
Diffusions TV : détail par pays
Propos
Tournage
Ce film a été entièrement tourné dans la métropole lilloise. De nombreux sites sont toujours reconnaissables aujourd'hui, comme l'emplacement du Diplodocus, dans le film Un énorme trou dans le sol.
Cet énorme trou rempli d'eau était le chantier d'un complexe immobilier occupé aujourd'hui par des bureaux, des commerces et le Palais du Nouveau Siècle et du parking qui se trouve en son sous-sol, dans le Vieux-Lille. Pour l'anecdote, on l'appelait « le trou de Mauroy », en référence à Pierre Mauroy, élu maire de Lille pour la 1re fois en 1973, et qui avait présidé à ce projet qui pouvait paraître pharaonique à l'époque. On y reconnait aussi, hormis quelques rues (assez tristes dans les années 1970) du Vieux-Lille, une entrée de l'immeuble Le Forum situé à l'angle des rues Charles-Saint-Venant et Gustave-Delory. On y reconnait également la gare de Tourcoing appelée gare de Cournai dans le film, ainsi que la rue de l'Épine.
Plusieurs scènes se déroulent dans les rues de Roubaix Grand'Rue, rue d'Avelghem ...
La boîte de nuit, dont le logo visible dans le film est toujours en place aujourd'hui, est la discothèque Le macumba à Englos, petit village situé à 5 km de Lille. On y voit aussi l'ancien abattoir de Roubaix (la scène devant la prison, où la foule veut lyncher l'accusé) détruit depuis (à l'emplacement du lycée Jean-Rostand, rue de Lavoisier).
Une scène permet aussi de retrouver le stade Grimonprez-Jooris, que le héros parcourt seul dans la tribune découverte.
Accueil du public
Sorti en octobre 1976, Le Corps de mon ennemi fait un score honorable, mais inférieur aux précédents films avec Jean-Paul Belmondo : Peur sur la ville et L'Incorrigible.
À sa première semaine d'exploitation à Paris, le film fait 143 208 entrées et se classe à la première place, que le long-métrage gardera la semaine suivante, avant de chuter pour finir son exploitation parisienne avec 528 354 entrées, mieux que le précédent film de l'acteur, L'Alpagueur, qui récolte 445 281 entrées à Paris mais moins bien que Peur sur la ville avec ses 964 658 entrées parisiennes toutes exploitations et L'Incorrigible avec ses 767 000 entrées parisiennes.
En France, Le Corps de mon ennemi termine son exploitation sur l'hexagone avec 1 771 161 entrées, score presque similaire à celui de L'Alpagueur (1 533 183 entrées) et inférieur à Peur sur la ville (3 948 000 entrées) et L'Incorrigible (2 572 000 entrées).
Source : Wikipedia
Générique détaillé (17)
Adaptation :
Henri Verneuil, Michel Audiard
Auteur de l'œuvre originale :
Scénaristes :
Henri Verneuil, Michel Audiard, Félicien Marceau
Directeur de la photo :
Directeurs de production :
Tadek Zietara, Jacques Juranville
Scripte :
Auteur de la musique :
Mixage :
Régisseur général :
Dialoguiste :
Producteurs :
Jean-Paul Belmondo, Henri Verneuil
Voix :
Cadre :
Montage :
Décors :
Jacques Brizzio, François de Lamothe