Synopsis
Cinéaste arménien et géorgien né à Tbilissi le 9 Janvier 1924, mort à Erevan le 20 Juillet 1990, Sergueï Paradjanov est considéré comme l’un des grands cinéastes contemporains.
Sa mise à l’écart des studios et ses emprisonnements par le pouvoir soviétique, notamment pour homosexualité, ont fortement marqué sa carrière. Il laisse une œuvre inachevée mais essentielle pour l’histoire du cinéma russe et soviétique car très originale et représentative de la richesse ethnique de la Transcaucasie.
Réalisé dans sa demeure étrange, atelier et splendide capharnaüm, aujourd’hui détruite, mais aussi sur le tournage de son dernier film ACHIK KERIB, ce portrait d’un homme meurtri mais farouchement libre, s’attache aussi aux talents parallèles du cinéaste (peintre, décorateur, styliste…)
Générique
Réalisateur (1)
Production et distribution (1)
- Production déléguée : Les Films du Horla
Générique détaillé (5)
- Producteur délégué : Patrick Cazals
- Scénariste : Patrick Cazals
- Directeur de la photo : Philippe Dorison
- Monteur : Boris Viard
- Participant : Sergei Paradjanov
Mentions techniques
- Type : Court-métrage
- Genre(s) : Documentaire
- Langue de tournage : Français
- Origine : France
- EOF : Non précisé
- Année de production : 1989
- Durée : 28 min
- Numéro de visa : 68126
- Visa délivré le : 20/03/1989
- Type de couleur(s) : Couleur
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Qu’importe si les bêtes meurent, de Sofia Alaoui
Dans les hautes montagnes de l’Atlas, Abdellah, un jeune berger et son père, sont bloqués par la neige dans leur bergerie. Leurs bêtes dépérissant, Abdellah doit s’approvisionner en nourriture dans un village commerçant à plus d’un jour de marche. Avec son mulet, il arrive au village et découvre que celui-ci est déserté à cause d’un curieux événement qui a bouleversé tous les croyants.
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