Synopsis
Lors d'une vente de charité dans une petite ville de province, une jeune et riche veuve remet le produit de la recette au notaire. Or, celui-ci est attaqué et dévalisé tandis qu'il rentre chez lui. Deux jours plus tard, on retrouve assassinés deux détenus évadés de la maison d'arrêt voisine. Un troisième homme est parvenu à s'enfuir. Il trouve refuge chez la jolie veuve. La jeune femme se laisse convaincre, séduire, s'apitoie, et accepte de l’aider. Mais lors de leur cavale, le doute s’empare d’elle…
Générique
Réalisateur (1)
Acteurs (26)
Production et distribution (3)
- Productions déléguées : Le Trident, Hoche Productions, Union Cinématographique Lyonnaise (UCIL), Les Films Odéon
- Exportation / Vente internationale : Tamasa Distribution
- Distribution France : Les Films Corona
Générique détaillé (10)
- Assistants à la réalisation : Tony Aboyantz, Jean Léon
- Dialoguistes : Michel Audiard, André Tabet
- Auteur de l'œuvre originale : Day Keene
- Producteurs : Nino Costantini, Ray Ventura
- Scénaristes : Rodolphe-Maurice Arlaud, Michel Audiard, Pierre Chenal, André Tabet
- Directeur de la photo : Christian Matras
- Cadre : Gilbert Chain
- Directeur de production : Christian Stengel
- Montage : Suzanne Rondeau
- Auteur de la musique : Maurice Jarre
Mentions techniques
- Type : Long-métrage
- Genre(s) : Fiction
- Sous-genres : Drame
- Langue de tournage : Français
- Origine : France (100.0%)
- EOF : Non précisé
- Nationalité : 100% français (France)
- Année de production : 1959
- Sortie en France : 17/06/1959
- Durée : 1 h 30 min
- Etat d'avancement : Sorti
- Numéro de visa : 21618
- Visa délivré le : 17/06/1959
- Agrément : Inconnu
- Formats de production : 35 mm
- Type de couleur(s) : Noir & blanc
- Cadre : 1.37
- Format son : Mono
Box-office & sorties
Diffusion TV
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Actualités & distinctions
Propos
L’historien du cinéma Jean Mitry, dans une lettre à Pierre Chenal, évoque La Bête à l’affût : « Ce film est une excellente étude en profondeur des motivations d’un bandit. Face à une Françoise Arnoul échappant pour une fois à ses emplois stéréotypés d’espionne ou de pute, et campant avec beaucoup de finesse, mais sans rien perdre de sa merveilleuse sensualité, une jeune veuve de la haute bourgeoisie, Henri Vidal, remarquablement dirigé, fait mouche à chaque plan, non plus seulement grâce à son seul charme comme auparavant, mais par sa parfaite adéquation aux multiples facettes de son personnage équivoque, maniant l’humour, l’amertume, la fourberie et le désespoir avec souveraineté. »
Source : Festival d'Amiens