On pourrait dire de Julien (20 ans) que c’est un garçon qui a grandi trop vite ou plus exactement qu’il s’est arrêté en enfance. Du coup on le considère à l’école comme un attardé mental alors que dans sa famille il passe pour un doux rêveur plutôt drôle. Dans le débat qui agite la famille, sa mère, résistant de toutes ses forces pour que Julien ne soit pas envoyé dans une institution spécialisée, décide de faire appel à un psy pour entamer une thérapie familiale. Mais la thérapie ne règlera rien. La solution viendra d’ailleurs : du courage du père de Julien et d’un secret enfin révélé...
Synopsis
Regarder Dis-moi que je rêve en VOD
Plateformes | Modèle | Tarif | Qualité |
---|
Voir tout
Voir moins
Désolé, aucun résultat ne correspond à votre recherche.
Plateformes | Modèle | Tarif | Qualité |
---|
Voir tout
Voir moins
Désolé, aucun résultat ne correspond à votre recherche.
Plateformes | Modèle | Tarif | Qualité |
---|
Voir tout
Voir moins
Désolé, aucun résultat ne correspond à votre recherche.
Plateformes | Modèle | Tarif | Qualité |
---|
Voir tout
Voir moins
Désolé, aucun résultat ne correspond à votre recherche.
Acteurs (10)
Production et distribution (3)
Coproduction :
Box Office : cumulé
Box Office : chronologie
Sorties à l'international (10)
Pays | Distributeur | Acheteur | Date de sortie | Titre local |
---|
Voir tout
Voir moins
Désolé, aucun résultat ne correspond à votre recherche.
Diffusions TV : Cumulé
Diffusions TV : détail par pays
Propos
Tout est parti d’une envie de fiction, de personnages. Je voulais parler de la différence, et c’est en écrivant les rôles de Julien et de sa mère, que j’ai abordé cette question : jusqu’à quel point peut-on accepter un enfant qui ne ‘‘cadre’’ pas, comment vivre cette différence là ? Quand la mère évoque le jour où on lui a dit que son fils n’était pas tout à fait normal, et comment elle a refusé de le croire, le film prend un sens particulier : la force de cette femme, c’est sa conviction que son fils est beau, et qu’elle va faire rayonner cette beauté dans la famille. Il faut croire en l’autre, sinon on ne peut plus vivre ensemble, c’est la mort. Au départ, c’est une femme qui porte tout sur ses épaules, qui démontre une grande efficacité, qui organise l’existence de tout le monde, alors que le père semble être davantage en relation avec la station Mir qu’avec la réalité. Mais la mère va perdre pied, se fracasser et ensuite refaire surface. Le film raconte aussi cette histoire là. (Claude Mouriéras - propos extrait du dossier de presse)
Générique détaillé (14)
Producteur délégué :
Ingénieur du son :
Directeur de la photo :
Directeurs de production :
Brigitte Faure, Philippe Jacquier
Montage son :
Auteur de la musique :
Mixage :
Assistants à la réalisation :
Marie-Jeanne Pascal, Manuel Pouet
Scénariste :
Assistant son :
Montage :
Décors :
Wouter Zoon, Jean-Pierre Cortines