Synopsis
1994, Fatine, jeune fille de dix-sept ans, vit avec sa mère Nadia, chikha de profession, et son grand-père Hamid, à Azemmour, dans le sud-ouest du Maroc. Bac en poche, Fatine est tiraillée entre deux voix opposées : soit perpétuer la tradition artistique familiale, soit mener une vie plus rangée avec son amoureux Youssef, qui dénigre son héritage artistique sulfureux. Tout aussi éprise de Youssef que concernée par le patrimoine artistique de l’Aïta, Fatine doit décider quelle direction donner à sa vie pour s’accomplir. Un ultimatum imprévu l’oblige à prendre unedécision radicale.
Générique
Réalisateurs (2)
Acteurs (5)
Production et distribution (3)
- Production déléguée : Hapax Productions
- Production étrangère : Ciné-Scène International
- Exportation / Vente internationale : Sudu Connexion
Générique détaillé (9)
- Producteur délégué : David Azoulay
- Scénaristes : Yamina Zarou, Ayoub Layoussifi
- Directeur de la photo : Xavier Castro
- Monteur : Mehdi Lachhab
- Ingénieur du son : Saïd Tawil
- Producteur étranger : Najib Derkaoui
- Monteurs son : Nassim El Mounabbih, Harald Ballié
- Décors : Farah Bouyaqd
- Mixeur : Nassim El Mounabbih
Mentions techniques
- Type : Court-métrage
- Genre(s) : Fiction
- Langue de tournage : Arabe
- Origines : France (50.0%), Maroc (50.0%)
- EOF : Non précisé
- Nationalité : 50% français (France, Maroc)
- Année de production : 2024
- Durée : 25 min
- Numéro de visa : 161.525
- Visa délivré le : 27/11/2024
- Formats de production : HD 4K
- Type de couleur(s) : Couleur
- Cadre : Scope
- Format son : 5.1
Actualités & distinctions
Actualités (2)
Sélections (4)
A propos
Chikha : chanteuse et danseuse de musique marocaine populaire. elle animeles mariages, les circoncisions et d’autres célébrations avec l’art de l’Aïta.
Aïta : art poétique et musical ancestral pratiqué principalement par les femmes artistes, les chikhates, au Maroc.
Ressources
Dossier de presse(1)
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Ce qui appartient à César, de Violette Gitton
César a douze ans lorsque sa grande sœur est victime d’une agression sexuelle. Dans les vestiaires des cours d’escrime qu’il fréquente, tout se mesure à l’aune de la violence. César voudrait prendre part à tous les combats mais n'a pas les armes.




































