Partager vingt-quatre heures de la vie de Dalila, c’est baigner vingt-quatre heures dans la culture d’apparences.
Autour d’elle, on découvre des personnages, hommes et femmes, jeunes et moins jeunes, emprisonnés malgré eux dans cette culture imperceptible à l’œil nu. En cherchant de l’argent pour aider sa mère à payer la cotisation de l’amicale des Algériens de France (qui couvrirait les frais de rapatriement du corps de son père défunt dans le pays d’origine), elle se rend compte qu’elle est le témoin impuissant et la victime d’un système dont elle ne peut sortir sans se mettre en danger.