Synopsis
Krim sort de prison. Seize ans pour l'assassinat de sa femme. En quittant la prison, il ne quitte pas seulement le vieil Eugène, le mentor avec qui il a passé toutes ces années d'enfermement. Il quitte un monde dans lequel il a ses repères, un monde somme toute sûr, puisque l'on sait par avance de quoi chaque jour sera fait. Mais dehors... Rien n'est plus pareil. Tout a changé. Sauf Krim. Lui qui croyait en avoir fini avec sa peine et couler des jours tranquilles avec sa fille. La petite Yasmine qui avait un an à l'époque et qui doit être une jeune fille de 17 ans maintenant. Krim comprend vite qu'il ne la retrouvera pas...
Générique
Réalisateur (1)
Acteurs (13)
Production et distribution (3)
- Production déléguée : LGFD DIlms
- Coproduction : Auvergne-Rhône-Alpes Cinéma
- Distribution France : Eurozoom
Générique détaillé (12)
- Producteurs délégués : Alain Berry, Paul Bastos
- Adaptation : Gérard Jouannet, Ahmed Bouchaala, Jade Luchini, Zakia Tahiri-Bouchaala
- Scénaristes : Ahmed Bouchaala, Gérard Jouannet, Jade Luchini, Zakia Tahiri-Bouchaala
- Directeur de la photo : Pascal Rabaud
- Auteur de la musique : Djamel Ben Yelles
- Monteuses : Monica Coleman, Maguelone Pouget
- Ingénieur du son : Louis Gimel
- Producteur : Paul Bastos
- Producteur exécutif : Éric Porcher
- Attaché de presse (film) : Pascal Launay
- Décors : Philippe Pouliac, Jean-Marc Kerdelhué
- Distributrice France : Amel Lacombe
Mentions techniques
- Type : Long-métrage
- Genre(s) : Fiction
- Langue de tournage : Français
- Origine : France (100.0%)
- EOF : Non précisé
- Nationalité : 100% français (France)
- Année de production : 1994
- Sortie en France : 31/05/1995
- Durée : 1 h 25 min
- Etat d'avancement : Sorti
- Numéro de visa : 85.553
- Visa délivré le : 10/05/1995
- Agrément : Oui
- Formats de production : 35 mm
- Type de couleur(s) : Couleur
- Cadre : 1.66
Actualités & distinctions
Propos
"Krim a été inspiré par un fait divers récent : un homme renié par sa famille, abandonné par ses amis, retrouve Lyon après vingt ans de prison. Mais il ne reconnait pas sa ville ; sans repère, sans personne, ne sachant que faire de sa liberté, il cherche en vain à retourner dans "sa" prison. Il finit par se suicider en s'allongeant sur la voie ferrée. Ce drame a été le point de départ de mon histoire. Je l'ai tiré à moi. L'homme est devenu arabe, un déraciné, lui aussi sans repère, sans référence."
(Ahmed Bouchaala)