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La Décade prodigieuse

La Décade prodigieuse

Un Long-métrage de Claude Chabrol

Produit par Euro International Film (EIA), Les Films La Boëtie

Sortie en France : 01/12/1971

    Synopsis

    Fils adoptif de Théo Van Horn, Charles appelle à la rescousse Paul, un professeur qu'il admire beaucoup : depuis quelques temps, il est victime de crises d'amnésie desquelles il émerge chaque fois en un lieu inconnu, après un temps indéterminé. Pour le surveiller, Paul accepte de séjourner chez les Van Horn...

    Acteurs (11)

    Production et distribution (3)

    Productions déléguées :

    Euro International Film (EIA), Les Films La Boëtie

    Distribution France :

    Parafrance

    Exportation / Vente internationale :

    Artedis

    Diffusions TV : Cumulé

    Diffusions TV : détail par pays

    Propos

    Anecdotes

    Claude Chabrol cite souvent ce film comme étant celui qu'il a complètement raté, par "excès d'ambition" précise-t-il.
    Orson Welles est doublé en français par Georges Aminel.
    Marcel Gotlib a réalisé une critique illustrée de ce film dans un épisode de la série de bande dessinée Rubrique-à-brac.

    Source : Wikipedia

    Point de vue

    Drôle d’objet que cette Décade qui réunit à la fois Piccoli, un habitué des Chabrol des années 1970, Marlène Jobert, Anthony Perkins (à jamais maculé du sang de Psychose) et l’immense Orson Welles, immense étant en partie à prendre au premier degré, il occupe à l’époque beaucoup de place dans le plan ! Il est question de regard dans La Décade prodigieuse, à l’image des visions organiques et nauséeuses qui ouvrent le film. De vision empêchée plus précisément. Au cœur d’une intrigue quasi incestueuse, Piccoli en bon personnage chabrolien, entre adjuvant et enquêteur, fonce bille en tête et se plante sur toute la longueur. Si la sauce ne prend pas vraiment (le film est un collage un peu trop laborieux d’éléments qui restent hétérogènes), c’est un vrai plaisir de voir le cinéaste distiller ses éléments pour berner personnages et spectateurs. Parce que finalement, un film moyen de Chabrol est souvent bien plus intéressant qu’un film réussi de… beaucoup de réalisateurs en fait.

     

    Source : iletaitunefoislecinema.com

    Générique détaillé (20)

    Assistants à la réalisation :

    Michel Dupuy, Patrick Saglio

    Producteur :

    André Génovès

    Scénaristes :

    Paul Gégauff, Eugène Archer, Paul Gardner

    Assistant son :

    Gérard Dacquay

    Cadre :

    Charles-Henri Montel

    Montage :

    Jacques Gaillard

    Scripte :

    Aurore Chabrol

    Bruitage :

    Louis Devaivre

    Costumes :

    Karl Lagerfeld

    Photographe de plateau :

    Roger Corbeau

    Auteur de l'œuvre originale :

    Ellery Queen

    Ingénieur du son :

    Guy Chichignoud

    Directeur de la photo :

    Jean Rabier

    Assistants opérateurs :

    Raymond Menvielle, Janine Rabier

    Directeur de production :

    Irénée Leriche

    Assistant monteur :

    Jean-Claude Groussard

    Auteur de la musique :

    Pierre Jansen

    Chef décorateur :

    Guy Littaye

    Mixage :

    Alex Pront

    Régisseurs généraux :

    Arlette Danis, Patrick Delauneux

    Mentions techniques

    Long-métrage

    Genre(s) :

    Fiction

    Sous-genres :

    Drame psychologique

    Langue de tournage :

    Français

    Origines :

    France, Italie

    EOF :

    Non précisé

    Nationalité :

    Majoritaire français (France, Italie)

    Année de production :

    1971

    Sortie en France :

    01/12/1971

    Durée :

    1 h 50 min

    Etat d'avancement :

    Sorti

    Numéro de visa :

    36570

    Visa délivré le :

    23/11/1971

    Agrément :

    Inconnu

    Formats de production :

    35 mm

    Type de couleur(s) :

    Couleur

    Format son :

    Mono