Leur idée était simple : braquer le siège d'une compagnie pétrolière où l'on garde les pots-de-vin destinés aux pays africains. Ils ne pouvaient juste pas prévoir qu'un terroriste kamikaze serait là pour la même raison, mais pas avec le même but. Vous connaissez la règle : on ne négocie pas avec les terroristes. Sauf s'il y a du blé en jeu.