La romantique Sylvie rêve d'un amour éthéré avec le fant me attitré du château paternel. Anxieux, son père engage un faux fant me en location mais un jeune homme charmant et un voleur désinvolte profitent de la situation. Sylvie essaie de débrouiller l'écheveau de ses sentiments tandis que le vrai fant me, tendre et désabusé, regagne une lointaine étoile.
Synopsis
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Acteurs (15)
Production et distribution (3)
Exportation / Vente internationale :
Diffusions TV : Cumulé
Diffusions TV : détail par pays
Propos
Réception critique
"Carrefour"
« M. Claude Autant-Lara est une sorte de spécialiste. Il sait son propos. Son travail est d’un homme habile et convaincu. "Le rêve pour le rêve" pourrait être son slogan. Il est à l’aise au milieu d’un musée Grévin qu’il habille de rose. "Le Grand Meaulnes", "Ma Mère l’Oye" et Walt Disney sont ses assistants à la mise en scène. Il ferait un vaudeville politique du Cid. »
France Roche, 15/02/1946
"Dimanche"
« malheureusement, les trucages nombreux, indispensables d’ailleurs, bien que réalisés avec soin, détruisent un peu l’atmosphère du film. Ils empêchent le spectateur d’être entraîné, convaincu, conquis. »
Raymond Jarry, 24/02/1946
"Franc Tireur"
« Claude Autant-Lara, qui a conquis (…) son brevet de sensibilité et de légère ironie, a suffisamment d’esprit pour faire vivre les morts. Il y a dans Sylvie et le fantôme un effort technique dont la réussite est éclatante. »
Jean Néry, 19/02/1946
"La France au combat"
« Les fantômes sont très photogéniques, il y a longtemps que nous le savons, mais nous en avons tellement vus depuis quelques temps qu’il aurait fallu à celui – à ceux plus exactement – de Claude Autant-Lara une bien forte personnalité pour, si l’on peut dire, tenir le coup après ceux dont les histoires nous ont été contées dans "Fantôme à vendre", "Ma femme est une sorcière", "Le défunt récalcitrant" et dans "L’Esprit s’amuse". »
René Jeanne, 14/02/1946
"Les Lettres françaises"
« Les trucages ont déçu. Méliès photographiait moins bien, mais truquait mieux. (…) Le genre même, le cinéma "poétique" né des nécessités de l’occupation, risque de dater aussi vite que le bois des semelles, quand le cuir chaussera à nouveau les pieds féminins. »
Georges Sadoul, 08/02/1946
"La Marseillaise"
« Sylvie et le fantôme est un film honnête, un peu lent, mais point ennuyeux. Ce n’est pas le grand film qu’une publicité un peu indiscrète pouvait laisser espérer. »
Gilbert Badia, 14/02/1946
"Les Nouvelles Littéraires"
« Bien qu’on nous ait montré beaucoup de fantômes à l’écran, sous diverses formes, depuis quelques temps, ceux qui paraissent ici sont trop plaisants pour ne pas nous conquérir, comme ils le font du cœur tendre de Sylvie. »
[sn], 14/02/1946
"Paris Matin"
« La faiblesse dont souffre le film est l’indécision de ses auteurs, hésitant entre le comique, la poésie et l’atmosphère, d’où un manque d’unité. »
Claude Briac, 08/02/1946
"Paroles françaises"
« Claude Autant-Lara eut autrefois des vivants (…) plus dédoublés que ces fantômes balourds. Ses suaires sont d’étoffe grossière. »
Geneviève Dunais, 21/03/1946
"Témoignage Chrétien"
« Le film est indiscutablement inégal si l’on s’arme pour le juger des critères habituels de la critique. Son plus grave défaut est qu’il oscille entre la comédie-vaudeville et la comédie sentimentale et poétique. »
G. Damas, 15/02/1946