Un instituteur évoque devant ses élèves les richesses de la France. "Appartiennent-elles aux français ? Non à deux cents familles ! N'y a-t-il rien à faire ? Si, dit la voix de Renoir, il y a le parti communiste !"
Dehors, les gosses se plaignent de leur misère. Celle-ci trouve ses racines dans l'oppression que font subir au pays les " 200 familles " bourgeoises soutenues en France par l'extrême-droite et à l'extérieur par Hitler et le fascisme. Le Parti Communiste entend s'opposer à leurs entreprises. Dans son bureau, Marcel Cachin, rédacteur en chef de " l'Humanité ", lit des lettres de militants illustrant le rôle déterminant du Parti.
La première de ces lettres raconte comment une grève, dans une usine, a empêché le renvoi d'un ouvrier et la réduction des salaires. La seconde émane de paysans qui ont mis en échec la confiscation des biens d'un paysan dont les récoltes ne se vendent plus. La dernière évoque les malheurs d'un technicien au chômage que sauvera du désespoir la fraternelle solidarité de militants communistes.
L'ouvrier, le paysan et le technicien se retrouvent tous au meeting du PC pour écouter Thorez et Duclos. Des dirigeants du Parti exposent leurs solutions à la crise : des travailleurs, confiants, se rassemblent en chantant.
Source : cineclubdecaen.com