Installés dans une grande demeure à la campagne, Marc (Patrick Dewaere) et Colette (Anny Duperey) tentent de trouver assez d'argent pour partir enfin en Afrique. Marc a meme réussi à se procurer une voiture tous terrains qu'il bichonne amoureusement. Reconverti depuis peu dans la psychothérapie de groupe, Marc organise des week-ends afin de débarasser, moyennant finance, les timides de leurs inhibitions. Au cours de l'un de ces week-ends réapparait Bob, son ancien complice de "Mai 68", à qui il n'a jamais pardonné de lui avoir pris Marlène, son amie d'alors. Bob est devenu un gangster et il a tot fait de transformer la demeure de Marc en camp retranché. Pis : Bob n'hésite pas à s'approprier la Land Rover tout en faisant la conquete de Colette. Au bord du désespoir, Marc parviendra à maitriser la situation et à fuir pour l'Afrique.
Synopsis
Regarder Psy en VOD
Plateformes | Modèle | Tarif | Qualité |
---|
Voir tout
Voir moins
Désolé, aucun résultat ne correspond à votre recherche.
Plateformes | Modèle | Tarif | Qualité |
---|
Voir tout
Voir moins
Désolé, aucun résultat ne correspond à votre recherche.
Plateformes | Modèle | Tarif | Qualité |
---|
Voir tout
Voir moins
Désolé, aucun résultat ne correspond à votre recherche.
Plateformes | Modèle | Tarif | Qualité |
---|
Voir tout
Voir moins
Désolé, aucun résultat ne correspond à votre recherche.
Acteurs (12)
Production et distribution (4)
Coproduction :
Distribution France :
Diffusions TV : Cumulé
Diffusions TV : détail par pays
Propos
Point de vue
Une communauté loufoque aux moeurs étranges dérangée dans son château par des malfrats qui viennent de commettre un hold-up, cela rappelle fortement Le diable par la queue, précédent film et parfaite réussite de Philippe de Broca. De fait, Psy est une sorte de pendant négatif du joyeux chef d’oeuvre de 1969. Douze ans se sont écoulés et le regard porté par notre cher vieux royaliste sur les utopies post-soixante huitardes est franchement (et logiquement) désabusé. C’est sûrement le film où de Broca est le moins tendre envers ses personnages. Il y a des accents carrément sinistres dans ce film, un arrière-goût bizarrement aigre. La photo est beaucoup plus terne qu’à l’habitude chez le cinéaste et c’est peu dire qu’on perd au change en troquant Georges Delerue contre Mort Shuman.
Le film est désordonné, loin du parfait équilibre de son glorieux prédécesseur. C’est comme s’il y avait deux films en un: la satire des idées libertaires d’un côté et l’histoire du couple qui bat de l’aile accueillant les malfrats de l’autre. Si ce n’est certes pas son plus grand rôle, c’est toujours un plaisir de voir Patrick Dewaere dans une comédie, il y quelques situations vraiment drôles, quelques piques faciles mais marrantes contre la psychanalyse, des seconds rôles bien campés mais la sauce ne prend pas tout à fait car aucune unité, aucune ligne de force n’est jamais trouvée.
Source : films.nonutc.fr
Générique détaillé (16)
Producteurs :
Georges Dancigers, Alexandre Mnouchkine
Producteur exécutif :
Directeur de la photo :
Directeur de production :
Montage son :
Michèle Catonné, Catherine Dubeau