Deux insomniaques (Jean-Pierre Mocky et Bruno Putzulu) s'associent pour monter un club réunissant des personnes qui souffrent du même mal et qui décident ensemble de devenir en quelque sorte des justiciers dans la ville et plus précisement des redresseurs de torts au service des causes qui leur sont chères. Mais les relations entre les différents membres iront en se dégradant...
Synopsis
Regarder Les Insomniaques en VOD
Plateformes | Modèle | Tarif | Qualité |
---|
Voir tout
Voir moins
Désolé, aucun résultat ne correspond à votre recherche.
Plateformes | Modèle | Tarif | Qualité |
---|
Voir tout
Voir moins
Désolé, aucun résultat ne correspond à votre recherche.
Plateformes | Modèle | Tarif | Qualité |
---|
Voir tout
Voir moins
Désolé, aucun résultat ne correspond à votre recherche.
Plateformes | Modèle | Tarif | Qualité |
---|
Voir tout
Voir moins
Désolé, aucun résultat ne correspond à votre recherche.
Acteurs (23)
Production et distribution (2)
Production déléguée :
Distribution France :
Propos
- Mocky à propos du film : « Ce dernier film est très violent, d'une violence très très rare. Ça s'appelle Les Insomniaques. C'est l'histoire de types qui arrivent à quarante berges, qui sont dans des bureaux et qui se demandent ce qu'ils vont foutre de leur vie. Et ils se posent des questions, ils ne dorment pas. Cette histoire m'a été inspirée par Hitchcock : ce sont des gens qui, ne dormant pas la nuit, sortent. Pas dans les boîtes, ils marchent dans la rue, et ils se rencontrent. S'il y a un meneur parmi eux - et dans le film c'est moi, je joue aussi avec Mathieu Demy, Bruno Putzulu et Rufus -, à ce moment-là, ils vont faire des actions bienfaisantes, ils portent des masques très curieux mais pas grotesques… Tout ça crée une ambiance. En fait, les personnages ne se connaissent pas, ils se cachent les uns des autres, à cause de leurs masques. Sauf qu'il y a aussi de la violence : il y en a un qui trouve qu'un ministre est une ordure, il va le flinguer… Ça tourne mal et ça devient un cauchemar. Nous, les scénaristes, on est un peu des redresseurs de torts. Ce film, pour être noir, il est noir. »
Source : bienpublic.com