Confrontation du texte de Genet, Le Funambule, à l’étrange spectacle d’un salon funéraire. Deux visions de la mort se heurtent à la jointure des plans. Celle du funambule est la nécessaire mort à soi de l’artiste. Celle du salon funéraire est la mort cachée, recouverte, divertie par l’accommodement pascalien qui constitue au fond le fétichisme de la marchandise. Dévoilement, recouvrement.
Une solitude mortelle.