Synopsis
Dans le château de Primor vivent le riche parfumeur Toffer, sa pupille Giselle et la compagne de celle-ci Éva Larc. Un troisième hôte arrive : Pierre Jubal, le neveu de Toffer qui aime Giselle et en est aimé. Toffer, également amoureux de sa pupille met Pierre dehors. Mais auparavant, Toffer s’est fait un ennemi en la personne d’un soi-disant sorcier Sizine qu’il a voulu livrer aux gendarmes et que Pierre a sauvé. Toffer ne peut obtenir le consentement de Giselle à leur mariage. Il lui fait boire un breuvage qui la rend folle momentanément. Mais un soir Pierre revient pour trouver Giselle folle et Éva qui lui avoue son amour. Il l’épouse. Une lettre de Sizine apprend à Pierre le mariage de Giselle et de Toffer. Pierre part pour Primor et là, aidé par Sizine, il enlève Giselle. Sizine allume le feu d’artifice qui devait clore la fête mais le feu d’artifice se transforme en un déluge de flammes : le village et le château disparaissent. Une enquête est ouverte. Après le décès du commissaire de police provoqué par les vapeurs qui se dégagent des décombres, Pierre part à son tour mais il meurt asphyxié lui aussi mais après avoir découvert que c’était la chute d’un bolide qui avait causé la destruction de Primor.
Générique
Réalisateur (1)
Acteurs (9)
Production et distribution (1)
- Production déléguée : Le Film d'Art (Vandal et Delac)
Générique détaillé (3)
Mentions techniques
- Type : Long-métrage
- Genre(s) : Fiction
- Langue de tournage : Muet
- Origine : France
- EOF : Non précisé
- Nationalité : 100% français (France)
- Année de production : 1917
- Sortie en France : 12/10/1917
- Etat d'avancement : Sorti
- Agrément :
- Formats de production : 35 mm
- Type de couleur(s) : Noir & blanc
- Cadre : 1.37
- Format son : Muet
Actualités & distinctions
A propos
Louis Delluc écrivait dans "Cinéma et Cie", page 73 :
La Zone de la mort a provoqué de l’étonnement, voilà tout, quand un excès de coupure dans votre bande schématisait par trop l’audacieuse légende de votre ville morte. Est-ce de votre faute ? Non, mais ce doit être votre peine qu’on ait rudement allégé un récit chargé et recherché dont tant d’importants détails devaient assurer le relief.