Un proverbe Breton témoigne du danger de certaines îles de la côte bretonne et particulièrement de l’île de Sein :
« Qui voit Ouessant voit son sang, Qui voit Molène voit sa peine, Qui voit Sein voit sa fin »
Sur cette île, soumise aux gros temps, les habitants vivent repliés sur eux-mêmes. Le film suit leurs vies pendant la saison d’hiver.
Vie à terre, mais surtout en mer où les hommes de l’île n’hésitent pas à sortir le canot de sauvetage au péril de leur vie pour aller sauver les marins naufragés.