Paul Vecchiali nous lit un journal qui relate l'état valétudinaire d'un quidam qui a noté consciencieusement, durant des anneés, les moult affections qui le firent cruellement souffrir. Tout commence par des accès d'asthme, une hospitalisation à Sainte-Anne en avril 1952 et, des mois durant, un chapelet de douleurs se cristallisant en 1959 par un cancer du cavum vainement soigné au cobalt. Décès le 3 août 1959. On apprend que ce fut la dramatique existence du père du réalisateur.