Octobre 1954. Nous sommes aux derniers jours de la colonie puisque dans une semaine, Pondichéry doit rejoindre la nouvelle République Indienne. Sous ses dehors de sous-préfecture endormie, la "ville blanche" abrite un certain remue-ménage : derrière les hauts murs des belles maisons coloniales, dans les jardins envahis par l'exubérance de la végétation tropicale, les colons français préparent leur départ définitif...
Synopsis
Regarder Pondichéry, dernier comptoir des Indes en VOD
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Acteurs (6)
Production et distribution (2)
Production Déléguée :
Distribution France :
Box Office : cumulé
Box Office : chronologie
Sorties à l'international
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Propos
"Au bord d'un lac, des morceaux de crâne émergent des cendres d'un bûcher, une chaise à porteurs est recouverte de fleurs, autour les gens sont graves, ce sont des funérailles indiennes - Clap de fin - et tout le monde éclate de rire. Charles Aznavour qui n'était pas dans la séquence traverse la route poussiéreuse en boitant, imitant Sarah Bernhardt avec sa jambe de bois. Ainsi se succèdent les scènes tragiques de la fiction et les moments d'attente et de détente, propices aux plaisanteries. Nous sommes à quelques kilomètres de Pondichéry, au loin des femmes étendent sur l'herbe les saris qu'elles viennent de laver dans le lac, des chariots à boeufs avancent lentement, des voitures an-ciennes passent chargées d'objets hétéroclites, des centaines de figurants indiens sourient, heureux d'être là et suivent docilement les ordres. C'est une bruyante et sympathique confusion entre les tournages. Imperturbable, Bernard Favre dirige cette scène importante du film : c'est le départ des colons français en octobre 1954 avant que Pondichéry appartienne à la Nouvelle République Indienne. La chaleur est insupportable, on boit des litres de thé. Sous une ombrelle, Charles Aznavour raconte ses souvenirs et invente des calembours. C'est sa distraction favorite et c'est devenu un jeu contagieux pour les jeunes acteurs qui l'entourent. Le soir, Charles Aznavour présente son film : ''Un taxi pour Tobrouk'' à l'Alliance française devant un public indien. Nous sommes tous avec lui. Ce fut une journée hors du temps, hors norme, ailleurs... A Pondichéry, dernier comptoir des Indes." (Nicole Cornuz-Langlois, journaliste cinéma à France 2)
Générique détaillé (10)
Producteur délégué :
Ingénieur du son :
Directeur de la photo :
Montage :
Auteur de la musique :
Assistant à la réalisation :
Scénaristes :
Bernard Favre, Frédéric Astich-Barré, Marcel Beaulieu, Pascal Kané
Attaché de presse (film) :
Décors :
Thotta Tharani, Frédéric Astich-Barré