Dieter Wagner a dessiné de nombreux monuments aux morts qui ont en commun de lier le grand sommeil aux mythes féminins. Ainsi, dans le dernier repos, qu'il soit d'une violence apparente ou d'une brutalité cachée, la femme, qu'elle soit ange ou démon, dubitative ou résignée, veille-t-elle sur ses morts, ses hommes qui ne reviennent jamais des guerres.